Merci à Jean-Jacques, Quentin, Colombine, Héloïse, Carine, Alexis, Pascale et Alizé.

Parce qu’à tout vouloir faire, on fait tout mal.

Nous nous sommes adossés au capot et avons porté notre regard vers cet impressionnant infini.

Je me berce de rêves.

Après une journée tumultueuse, la ville s’endort , les chats en prennent possession.

C’est un peu notre Barnaby à nous ! Hihi !

Chaque jour de sa vie, il voit rien. Et pourtant, il est solaire!

Le ciel en feu semblait avoir épargné, à sa grande stupeur, Les deux amants sur la plage isolée.

Je te regarde, tu rougis, encore un peu timide.